Sur la route des grands crus de Bourgogne du domaine Arnoux-Lachaux avec Defender
En Côte de Nuits, le domaine Arnoux-Lachaux allie tradition et modernité pour réinventer le pinot noir. Pour vivre cette aventure au cœur de la Bourgogne, Defender, l’iconique franchisseur du groupe britannique JLR s’est associé au vigneron Charles Lachaux pour créer une expérience multisensorielle unique.
Une alliance guidée par une même quête d’authenticité, d’émotion et d’innovation.
À une trentaine de kilomètres de Dijon, dans la commune de Vosne-Romanée, les climats du domaine offrent un paysage inoubliable, aux nuances dorées et vermeilles. Notre Defender Sedona, une édition spéciale inspirée par la couleur des terres ferreuses de la ville éponyme en Arizona, sillonne les terres en se fondant parmi les feuilles de vignes écarlates.
Charles, lui-même grand amateur de la marque britannique, parcourt l’exploitation à bord de son Defender 110 et ses équipes utilisent la version 90 du Defender pour travailler sur les climats les plus escarpés. Depuis la création de la marque en 1948, Defender a su évoluer tout en conservant son identité, restant fidèle à ses origines agricoles et à son rôle d’outil de travail sur les terrains les plus exigeants. Solidité et fiabilité sont des qualités précieuses autant pour un vignoble d’excellence que pour un véhicule conçu pour braver l’impossible.
Bientôt les pieds se retrouveront à nu, mais en ce mois d’octobre, quelques grappes de raisins subsistent encore, malgré la fraîcheur automnale. Il faut dire que la région a toujours bénéficié d’un climat doux et ensoleillé, propice à l’épanouissement du vin. On en découvre chaque recoin, même les plus difficiles d’accès, grâce au Defender. Boue, ornière, pente inclinée, aucun obstacle ne nous résiste.
Sur ces collines argilo-calcaires, on cultive les premiers et grands crus de demain : Latricières Chambertin, Chambolle Musigny, Romanée Saint-Vivant… Des appellations qui font la réputation de la famille Lachaux et la fierté de la région depuis 1858, et qui réservent encore de belles surprises.
Après presque 170 ans d’exploitation, la sixième génération de Lachaux entend bien faire les choses différemment. En 2012, Charles prend la relève de son père Pascal et donne un nouveau souffle à la production en ouvrant la voie à l’agriculture régénératrice. Oubliés, les intrants chimiques à outrance et le labourage mécanique des sols. Le vignoble passe en viticulture complètement non mécanisée en 2019.
À l’heure de la « vinification intelligente », où les innovations technologiques sont au service de la production, le domaine Arnoux-Lachaux navigue à contre-courant, se recentrant sur le végétal. « Pour nous, le modernisme, ce n’est pas utiliser toujours plus d’outils sophistiqués. Il y a du bon dans chaque époque et l’on doit tout autant s’inspirer des anciennes générations que des nouvelles. »
En douze ans, d’autres changements majeurs ont été opérés dans la viticulture, avec comme ambition de laisser la vigne et le millésime s’exprimer le mieux possible. Comme Charles aime à le dire : « La nature fait bien son travail et elle le fait mieux que nous. »
De cette philosophie résulte la mise en place de l’éco-pâturage, l’arrêt du rognage des rameaux ou encore l’installation de palissage haut. Des mesures coûteuses, mais qui paient. « Aujourd’hui, nous ne sommes plus seulement un domaine, nous sommes redevenus une ferme à l’ancienne. Tout cela fait que l’on travaille désormais le pinot noir comme personne d’autre au monde. »
Pour autant, pas question d’intervenir plus que nécessaire sur la vigne. Ce qui permet à chaque bouteille de refléter la richesse et la profondeur de son terroir exceptionnel, c’est la singularité des sols, dont on a préservé la biodiversité. « Nous avons quatorze hectares divisés en cinquante-deux parcelles pour produire seize cuvées. Ces seize vins, justement, nous les voulons tous différents. »
Lorsque l’on jette un coup d’œil aux plantations, on constate en effet que les ceps les plus jeunes côtoient les plus vieux. L’objectif est de laisser chaque pied suivre son cycle pour produire un raisin abouti et équilibré.
« J’aimerais que nos vins suscitent une vraie émotion », confie Charles. Déjà sacré meilleur jeune vigneron du monde par les Goldens Wines 2021, le trentenaire ose et expérimente. Pour lui, la viticulture reste avant tout un terrain de jeu.
Dernière innovation en 2022, le remplacement des fûts de bois par des cuves en grès, un matériau neutre qui, contrairement au bois, ne transmet pas son goût au vin. Une preuve supplémentaire s’il en fallait que l’accent est mis sur l’expression des arômes du raisin dans leur forme la plus pure.
Avant de goûter ces nouvelles cuvées, il faudra donc patienter encore quelques mois. En attendant, nous avons eu la chance de nous délecter d’un élégant Clos de Vougeot Quartier de Marei Haut 2018, aux notes de fruits rouges mûrs et de chocolat, ainsi que d’un intense Echezeaux du millésime 2017. Une chance lorsque l’on sait que certaines bouteilles sont cotées à plusieurs milliers d’euros.
Plus jeune, le Nuits-Saint-Georges Les Procès récolté en 2021 surprend par sa vivacité. Il faut dire que la météo a été particulièrement compliquée cette année-là. Quelques années de garde l’aideront à atteindre un bon équilibre.
Bien que les vins produits par Charles Lachaux ne soient pas accessibles à la vente aux particuliers, à l’exception de rares et chanceux allocataires, il est possible de déguster leurs meilleurs millésimes dans certains établissements renommés. Dans la région, Le Millésime propose plusieurs vins qui s’accordent parfaitement avec la cuisine authentique et gastronomique de la maison – une belle façon d’allier le plaisir de la vigne à celui de la table.
Cette quête de plaisir et de perfection, commune à la gastronomie, au vin, et à l’automobile, témoigne de la vision partagée entre Defender et le domaine Arnoux-Lachaux. À travers
chaque courbe et chaque gorgée de vin, s’exprime un même désir d’exigence, ainsi qu’un savoir-faire exceptionnel: https://www.arnoux-lachaux.com/